aide à comprendre comment le virus mortel attaque les tissus pulmonaires chez les personnes en bonne santé et celles souffrant de maladies préexistantes.
Cette découverte ouvre la voie à des etudes portant sur les traitements contre le Covid.
Pour le Pr Patrick Humbert, cancérologue et professeur à l’université de Latrobe, le développement des vaccins COVID-19 était à juste titre la première priorité. Mais, souligne-t-il, il est désormais impératif que la science se concentre sur la recherche de traitements pour lutter contre les effets à long terme du COVID-19.
"Nous avons déjà vu comment ce virus peut muter en de nouvelles souches, ce qui signifie que nos vaccins actuels ne seront pas toujours efficaces."